samedi 23 août 2008

Sommeil ?

Sieste dans l'herbe
une ombre sur mon visage ~
Je tends les lèvres

Caressant sa femme
regardant les autres femmes ~
Siestes dans l'herbe

Elle ronfle
ma main sur son cou ~
Solitude


Du côté frais
tourner l'oreiller ~
Nuit sans fin


Nuit sans fin ~
Le ronron du chat
qui m'a griffé

2 commentaires:

Anonyme a dit…

deux petits faibles, l'un pour l'oreiller, l'autre pour le baiser...

Bien à toi

Phil

Paul de Maricourt a dit…

Bonjour Phil,

Les oreillers ont une agaçante propension à se réchauffer, et s'il n'y a pas une belle pour nous donner notre petit sirop, les nuits sont longues, longues...

B à t,
Paul