Sôseki était professeur de littérature anglaise, il occupait donc une belle chaire de nippon.
Je lui vole ce haïku (1910) :
Poitrine décharnée
Un souffle un soupir
Rafales de l'automne
Un souffle un soupir
Rafales de l'automne
Bon, le poème n'étant pas joyeux joyeux, courrons vite nous consoler dans les bras de la Blonde aux seins nus de Manet (1880).
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